My Cooliris Wall

Non mais ça va pas la tête ?

Et allez, c’est parti pour un tour de manège !

Une équipe sponsorisée par la-loose se fait étriller par (ce que l’on croyait être) des équipes « en bois »,
Un(?) joueur mal en jambes (il avait du se casser un ongle) pète un câble,
Un journal obsène, irresponsable et amnésique pond une « une »,
Une fédé joue le grand-frère-qui-va-te-casser-la-gueule (nananère) au lieu de laisser son (ir-)responsable gérer …

Et c’est parti, affaire d’Etat !

Wahouuu, chouette, on va pouvoir générer du hit, de la promo, du buzz …
Pathétique, pathétiiiiiiiiiiiiiiiiiiiique.

Ca défoule …

C'est l'histoire d'un petit garçon dont les parents divorcent.
Le juge dit au garçon: "tu iras vivre avec ta mère! et il répond : "non, elle me bat "
"alors tu vivras avec ton père!" et le garcon dit "non il me bat...aussi"

"bon alors avec qui veux tu vivre?"

"avec l'équipe de France... elle, elle ne bat ... personne".

Buchenwald, 65 ans après ; shame on me.

Paix à leurs âmes.

4 mots, une pensée, milles excuses pour avoir « zappé » ça au profit du précédent billet (et merci A.J de m’y avoir fait penser).

Panne d’inspiration …

Rien à faire, deux jours que je parcoure l’actualité et ne trouve aucun sujet qui m’incite à m’exprimer.
C’est donc encore d’un autre blog, celui d’Allain Jules que je tire mon inspiration.
Pourquoi celui-là ? Et bien parce qu’il est #1 chez WordPress quand j’accède à mon back-office; n’y voyez pas de monobloguie psychotique (et promis, j’irai voir ailleurs, aussi – vos suggestions sont les bienvenues !)

Je me souviens d’un ami batteur de talent (lui) avec qui j’échangeais sur la manière de progresser dans l’art musical et de ses réponses si pertinentes … ce sera le billet du jour !

Mon fils est très bon, il joue depuis 10 ans !

Ah … oui, dix ans … vache, à première vue on se dit « wahooo, 10 ans ! », il doit être bien bon, le kid !
Puis vient la question nécessaire, simple, directe : « combien d’heure(s) par … jour ? ».
Et la réponse, simple aussi – air vexé du parent choqué – : « une heure par semaine, mais avec un prof ! ».
[Démarrer / Exécuter / Calc ] alors … disons 48 semaines (ben vi, pendant les vacances …) à une heure par semaine … attends, je pianote … ah oui, 48 heures par an, je m’en doutais !
combien tu as dit ? diiiiiiiiiiixxxxx annnnnnnnnsss ? Oh, ça c’est facile, suffit de rajouter un zéro:  480 heures !!! BRAVO!

L’amour rend aveugle (et sourd parfois)

Un musicien professionnel va, toute sa carrière durant, travailler son instrument entre 4 et 10 heures par jour. Technique, créativité, lecture, écriture, réglage, vitesse, régularité, endurance,  … je ne sais même pas comment finir la liste (le peut-on ?). Allez, avec 4 heures, votre génie aura donc travaillé … euh … attends, je pianote … 120 jours … clic /30 … 4 mois !

Alors, quand je lis que Ségolène joue « DIVINEMENT » (pour un blog que je perçois comme orienté PS – donc laïque (?) – ça me fait rire; comme le clocher de Tonton) du piano, parce qu’elle plaque 4 accords sur un tempo ralenti à la mode « lettre à Elise », sous le regard complice (concupiscent ?) de Véronique Sanson (qui n’a rien à voir dans ce débat; son talent artistique est plus qu’indéniable !) … et bien je me marre !

Qui croire ?

A l’heure du déferlement des mots, des grandes envolées lyriques et des certitudes assénées à grands coups de liens vers des sources obscures ou reposant sur d’autres qui elles mêmes … On en finit par se demander qui il faut écouter, lire ou surtout, entendre.

Tout et son contraire.

Faites donc le test; utilisez un google, yahoo ou livesearch de votre coeur et choisissez un sujet brûlant (de préférence « pipole », vous aurez plus à lire): vous en aurez pour votre cortex.
Le plus saisissant dans tout cela c’est que chacun s’approprie la paternité d’une information qui n’en est pas une et joue de l’interprétation de quelques mots – parfois phrases – presque toujours isolés de leur contexte  (j’aurais dit « sortis » si la source originale du « buzz » avait elle même pris le soin de contextualiser les propos tenus, ce qui est rarement le cas) pour échafauder une réalité qui lui est chère : la sienne.

Bing Bang Boum

Et allons y pour découvrir la « rumeur » qui devient « info », bientôt consacrée telle, simplement parce qu’elle a été démentie !
Dès lors, les portes sont ouvertes, les « pas-de-fumée-sans-feuistes » accourent, reniflent, lèchent (parfois), intimident, spéculent, provoquent et au final ne font que répandre quelques lignes a vaporiser sur les braises encore chaudes de la non-info consacrée …

Dans une affaire judiciaire, on dira par exemple « le parquet a été saisi », en omettant de dire par qui; quelques lignes plus bas on dira que le pouvoir en place se sert de l’appareil judiciaire à son profit personnel et que c’est intolérable … hop, plié, vendu, emballé c’est pesé !  Du coup, les français « rasent les murs à l’étranger » … selon un « homme influent qui veut garder l’anonymat« . Vous, je ne sais pas, mais moi – qui lit peu et ne crois pas grand monde- ça me sidère. (ndlr : cet exemple – il en fallait un – provient de ce billet et j’avoue ne pas avoir approfondi la lecture du blog; a vous de voir pour le reste).

C’est si facile de lisser le poil dans le bon – et toujours le même – sens: un bloggeur de conquis, dix liens en perspective le syndrome du battement d’aile du papillon fauché par une boule de neige twité par un téléphone arabe(1) : gare au court-jus.

Comme un tambour

Et vas-y qu’ils totologisent, plussoient, copient-collent à outrance en prenant soin de ponctuer leurs discours de termes abscons, néologistes voir employés à contresens, histoire de brouiller les pistes.
Le raisonnement n’a plus de sens, la preuve est sans valeur, le complot partout, l’impossible bien réel, le pouvoir forcément méchant, le contre-pouvoir  forcément visionnaire … ratatatatata !
Ce n’est toutefois pas un hasard, car ces roulements ternaires inaudibles sur un tempo si binaire – le bien, le mal – ne sont là que pour servir un objectif; le hit, le comm’, la note; au final, le pouvoir: celui offert par la notoriété éphémère d’une blogossitude cahotique !

Tu quoque mi fili

Je n’échappe pas à la règle, même si la notoriété m’indifère (« pour vivre heureux, vivons cachés »).
Tiens, voilà ma conclusion: pas moi. CQFD.

(1) qu’il soit arabe ne fait allusion qu’à l’expression consacrée.

Concert aux Voiles d’Antibes

Votre serviteur, ainsi que ses complices, les Paffys, se produiront à l’occasion des voiles d’Antibes le 5 juin prochain.
Au programme … rock’n roll (vous savez, cette musique étrange, sans ordinateur, sampleur, avec des vrais gens non quantizés !).

Extrait … politiquement incorrect: Va te faire …

Nota : hum, « enfumer » ????

C’est parti mon kiki (pas pour aller chez Gifi)

Premières lignes, pas brillantes.
D’aucun aurait choisi un titre du genre « la solitude du tireur de pénalty » face à ce premier cartouche numérique; manquant franchement d’originalité.

Pouic, je pisse des lignes.
Mais après tout c’est fait pour ça un blog; vider son esprit comme on libère sa vessie; si tu aimes regarder, vas y ne te gènes pas; si tu n’aimes pas va trainer ailleurs.